Le Professeur Dodzi Kokoroko, le parrain de la rentrée solennelle de la Jeunesse Chambre Internationale ce samedi 19 janvier 2019, a prononcé à l’occasion un discours dans lequel il ressort que le développement devient un miroir aux alouettes avec la chienlit.
Le Président de l’Université de Lomé revenait en réalité sur la nécessité de la révolution des mentalités. « Nous aspirons au développement, nous aspirons à un vivre plus ambitieux mais toutes ces révolutions doivent se réaliser sur un fond, sur un terreau, la révolution des mentalités qui est aujourd’hui aux abonnés absents. Raison pour laquelle j’évoquais la nécessité de faire supplanter l’assistanat permanent au profit de l’assurance et de l’audace », déclare le Président de l’Université de Lomé.
Selon le Professeur Dodzi Kokoroko, pour y arriver, il semble que « nos pays doivent conjuguer autant la liberté et l’ordre. « Quand la chienlit, quand le désordre quand la pagaille s’installe, les libertés cessent et le développement tant proclamé et tant souhaité devient un miroir aux alouettes pour ne pas parler d’une arlésienne », note Dodzi Kokoroko.
Germain Doubidji