Le président du Mouvement des Républicains Centristes, Abass Kaboua a affirmé devant la presse que les deux prouesses que Agbéyomé Kodjo a pu faire au Togo, c’est d’avoir coulé le port autonome de Lomé et la Société Nationale de Commerce ( So.Na.Com). Après avoir plébiscité sa candidature et appelé ses militants à lui voté, Abass Kaboua se réjouit de la réélection du président sortant Faure Essozimna Gnassingbé.
Agbéyomé Kodjo et Adja Gérard sont des vrais corrupteurs et destructeurs selon le président du Mouvement des Républicains Centristes. <<Adja Gérard et Agbéyomé Kodjo se complètent dans tout ce qui est mauvais. Il y avait eu entre temps, sous la présidence de Eyadéma Gnassingbé la commission anti-corruption. En ce temps, Adja Gérard faisait parti de cette commission et il profitait pour faire le trafic avec Agbéyomé. Étant le chef service afro-stock, il faisait des montages avec Agbéyomé qui était le directeur général du port autonome de Lomé. Quand ils commandent 25 ordinateurs pour le port, seuls 2 sont livrés>> a indiqué Kaboua aux professionnels de média
À en croire le président du Mouvement des Républicains Centristes, la Société Nationale de Commerce a été coulée par l’ancien ministre et directeur général du port autonome de Lomé, Agbéyomé Kodjo.
En ce qui concerne Faure Kodjo Essozimna Gnassingbé, devrait-il ajouter, nous voudrions lui présenter toutes nos vives félicitations pour sa brillante réélection à la tête de la magistrature suprême. <<Nous félicitons toutes les équipes de campagne du président sortant qui ont su gérer et feinter les pièges de certains grimpeurs des grandes hauteurs qui pensaient trouver leurs forces dans les églises plutôt que sur le terrain>> a indiqué Abass
Nous félicitons également poursuivant-il tous les collaborateurs qui ont activement participé avec vaillance et bravoure à la confirmation de notre champion. Par ailleurs a-t-il ajouté, nous attendons impatiemment que la Cour Constitutionnelle reprenne avec minutie les résultats de la Ceni au point d’accorder à Faure sa réelle note que je trouverais supérieur à celle qui nous laisse encore encore sur notre soif.
Marc Y. GNAZOU