La marche vers le progrès n’est pas née aujourd’hui au Togo.Apartir de 2005, elle a été intensifiée, sur fond de nouvel élan, avec l’arrivée aux commandes de Faure Gnassingbé. Progressivement, le payss’est redressé grâce aux actions à forts impactssociaux décuplées pour garantir aux citoyens un minimum vital commun.L’élection présidentielle de 2020 a servi d’opportunité pour les Togolais de fonder de nouveau leurs espoirs sur le chef de l’Etat. En retour, il s’est engagé pour les cinq (05) prochaines années, à se plier en quatre pour les mettre à l’abri de la pauvreté, à travers une offre politique ambitieuse et crédible.
Le nouveau plan d’action quinquennal est né de la volonté de bâtir un Togo moderne, stable et prospère pour le bien-être despopulations. Il prend appui sur cinq (05) axes : la préservation de la paix et de la sécurité ; la gouvernance concertée ; la création de richesses pour plus de prospérité partagée et des conditions de vie dignes et épanouissantes pour tous ; le renforcement du capital humain à travers l’éducation et la santé pour tous ; l’accès universel aux services sociaux de base.
La paix, une condition sine qua non pour le développement
Le Togo a toujours été une terre d’hospitalité où la sérénité règne en maître absolu.Cette quiétude doit être maintenue pour accélérer le développement. Entre autres idées mûries pour la préserver, il y a le renforcement des dispositifs pour faire face aux nouvelles menaces sécuritaires dans la sous-région ;l’accroissement des capacités et moyens d’actions des forces de défense et de sécurité ; la lutte contre la piraterie maritime ; le développement accru d’une vigilance citoyenne, des relations harmonieuses et de confiance entre les populations et les forces de l’ordre ; le renforcement de la sécurité de l’écosystème digital.
Une meilleure gouvernance, c’est celle qui est concertée
Justement, les citoyens seront davantage impliqués dans la gestion du pays en tant qu’acteurs de développement à la base. Les actions promises sont le parachèvement de l’architecture institutionnelle prévue par la Constitution avec l’élection et l’installation rapide des conseils régionaux et du Sénat ; l’instauration de mécanismes et de cadres de dialogue et de concertation sur les priorités et objectifs de développement ou des questions spécifiques d’intérêt national ; la mise en place d’un dispositif annuel et participatif d’évaluation de l’action publique à travers un forum national citoyen.
La gouvernance partagée promise par le chef de l’Etat passera par un partenariat Etat-communes sur des projets à mettre en œuvre et budgétisés par le gouvernement. Chaque commune sera dotée d’un plan de développement qui sera exécuté par les jeunes et femmes entrepreneurs locaux. Viennent ensuite le renforcement de la participation et du contrôle citoyen de l’action publique ; la poursuite de la modernisation de l’administration publique autour des valeurs de redevabilité et d’efficacité avec un renforcement des effectifs de 25 000 agents supplémentaires sur les 05 années à venir, etc.